Le film de sa vie : La Ballade de Narayama

CHRISTINE …

– Je connaissais version de 83 de La Ballade de Narayama, quand j’ai appris qu’il existait une version plus ancienne. Une de 1958, en studio. Comme c’est un film que j’adore j’ai tout de suite voulut voir ce que ça donnait, mais j’avais peur que ce soit moche, car le film est très axé sur la nature ! Mais en fait, c’est aussi émouvant que dans la version tournée en décor naturel, l’histoire est suffisamment forte ! Avant, j’avais vu Le Cerf volant du bout du monde, il me reste plein d’images avec des couleurs, c’est peut-être pour ça que j’aime les films asiatiques maintenant !

– Comment vous expliquez cette lenteur volontaire dans le cinéma asiatique ?let

– Je ne sais pas … C’est souvent des fresques historiques, ils en ont des choses à raconter ! C’est très étiré. In the mood for love, pour moi c’est comme un ballet. Adieu ma concubine, c’est comme un opéra. C’est plus que du cinéma !

 

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La Ballade de Narayama, de Imamura, 1983

Orin, une vBallade-de-Narayamaieille femme des montagnes du Shinshu, atteint l’âge fatidique de soixante-dix ans. Comme le veut la coutume, elle doit se rendre sur le sommet de Narayama pour être emportée par la mort. La sagesse de la vieille femme aura d’ici-là l’occasion de se manifester. 

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